Une technologie maîtrisée
La technique permettant la thérapie SeCoHD consiste à faire succéder des cycles de rétro-filtration et d’ultrafiltration, grâce à la maitrise de la différence de la pression transmembranaire (PTM) du dialyseur.
• Pendant la phase de rétro-filtration, le dialysat est poussé vers le compartiment sang.
• À l’étape suivante, une ultrafiltration supplémentaire, équivalente au volume perfusé dans la phase précédente, est appliquée. Elle induit un transfert convectif de molécules venant s’ajouter au transport diffusif des toxines urémiques.
Des avantages majeurs
La thérapie SeCoHD a l’avantage de conduire à l’épuration des toxines urémiques par convection de façon autonome, sans ajout de haut volume de liquide de substitution ( >20l/4h recommandés par l’étude Eshol).
Cette convection peut également être obtenue quel que soit le dialyseur – un dialyseur à membrane plus ouverte étant bénéfique à la convection.
Comme la convection en mode SeCoHD nécessite un volume de dialysat identique, voire inférieur à l’hémodialyse conventionnelle et à l’HDF, cette thérapie peut être réalisée à domicile.
Cette convection peut également être obtenue quel que soit le dialyseur – un dialyseur à membrane plus ouverte étant bénéfique à la convection.
Comme la convection en mode SeCoHD nécessite un volume de dialysat identique, voire inférieur à l’hémodialyse conventionnelle et à l’HDF, cette thérapie peut être réalisée à domicile.